
Les contes de la campagne
Naufrage... ou sauvetage in extremis ?
Politique et gros sous ne font pas bon ménage. Après le rejet des comptes de la campagne de 2012 de Nicolas Sarkozy par le Conseil Constitutionnel. L’UMP avait dû demander à ses membres et adhérents de mettre la main au porte-monnaie afin d’éponger les 11 millions d’Euros non remboursés par l’État, dépassement de comptes oblige.
La société Bygmalion dont les dirigeants étaient des proches de Jean-François Copé auraient, peut-être sur ordre, gonflé leurs factures...
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