UE, état d'urgence, 49-3...
Le déni de la démocratie tombe le masque
Jouet des lobbies, l'UE vient de décréter une amende de 250.000 € par migrant pour les États membres qui refuseraient d'accueillir leur quota de réfugiés.
Après avoir permis la mise à sac du Moyen et du Proche-Orient, l'UE participe au racket des pays membres, sous la houlette de la chancelière « Panzer » Merkel, exacerbant ainsi les rancœurs des anciens pays du bloc communiste montrés du doigt comme récalcitrants à la politique migratoire de Bruxelles.
Dans le plus grand secret, l'UE et Washington négocient dans le dos des populations européennes l'immonde traité de libre-échange (TAFTA), véritable oukase contre la souveraineté économique des pays européens.
Qu’attendons-nous pour dissoudre ce « machin » qui saborde nos économies avec la pression de l’Eurozone ?
En France, l'état d'urgence risque de devenir permanent avec les projets de renforcement du pouvoir des procureurs au détriment des juges d'instruction, de la généralisation des moyens d'écoute, de l'extension des heures de perquisition et de la mainmise de l'exécutif sur le pouvoir judiciaire.
On nous affirme que ces mesures préservent notre sécurité mais, en réalité, elles détruisent nos libertés sans que nous n'en ayons conscience. Notre silence complice nous condamne.
En refusant le débat, notamment sur la loi travail, le gouvernement provoque la colère de la rue et l'exaspération de l'ensemble de la population. Certes, peu protestent ouvertement en manifestant, et beaucoup préfèrent se calfeutrer dans l'acceptation. Mais le chaudron est prêt à exploser.
Le recours au 49-3 est un véritable déni de démocratie dans la droite ligne de la dictature de l'UE et de la pérennisation de l'état d'urgence.