
Ou la concurrence des mémoires tournée en dérision
La force de l’humour juif est de savoir se moquer de soi-même, de Dieu, de la religion, de sa famille, de sa mère, de sa culture sans oublier l’antisémitisme ; bref de tout, sans vulgarité mais toujours avec une grande finesse. L’humour ouvre les portes de l’inconscient. Ne dit-on pas que les Juifs, ne pouvant se confesser, auraient inventé la psychanalyse.
La concurrence des mémoires, redoutée par beaucoup, génère une concurrence des souffrances. Ainsi, ce qui serait...
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