
Ou quand la liberté d'opinion se heurte au mur de la honte
Condamné en mars 2007 par la justice suisse pour discrimination raciale, Dogu Perinçek peut se réjouir : Le 17 décembre 2013, la CEDH (Cour Européenne des Droits de l'Homme), devant laquelle il avait exercé un recours, lui permet désormais de nier le génocide des Arméniens en toute impunité au nom de la « liberté d'expression ».
On peut s'étonner que le président du syndicat des travailleurs turcs, se prétendant de gauche, puisse se compromettre avec les...
[Lire la suite]