
Nommée à la tête du FMI en remplacement de DSK, Christine Lagarde a concentré contre elle les tirs croisés de ses détracteurs, et notamment du « peuple grec » pour les propos qu’elle a tenus :
« Je pense plus aux petits enfants d'une école d'un petit village du Niger qui ont classe deux heures par jour, en partageant une chaise à trois, et qui ont très envie de pouvoir étudier. (..) Je les garde tout le temps à l'esprit. Parce que je pense qu'ils ont encore plus besoin d'aide que les gens à Athènes ».
La...
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