Arsenic et vieilles dentelles

Ou lorsque l'avorton de Goldman Sachs joue les Cassandre

Les prostitués de Kiev racolent sur la place publique pour se faire violer par l'ogre moscovite. À force de chercher à provoquer le Kremlin par l'apparition de colonne blindée fantôme, de parachutistes égarés ou d'incitation à l'invasion pour recréer la défunte URSS, le poison de premier sinistre ukrainien et ses fâcheux petits kamaraden jouent la surenchère.

Ces gens-là ne sont ni des patriotes ni des nationalistes mais des voyous en costume gangrenés par la haine de l'autre et contaminés par la puissance de l'argent.

Vendre l'Ukraine...

Leur seul objectif est de vendre l'Ukraine et son peuple aux affairistes de l'Ouest.

L'Occident lui-même n'a plus d'âme ni de valeurs. Le népotisme de ses dirigeants à l’image du fossoyeur Barroso et leur incapacité à réfléchir par eux-mêmes conduit à la privation de nos libertés individuelles.

Les plus naïfs ou les plus sots croient encore vivre sans entraves alors qu'on les a enfermés à leur insu dans un parc d'attraction aux barreaux invisibles.

Empoisonnés par l'agro-alimentaire industriel, sucés jusqu'au sang par les taxes et les impôts, programmés à ne plus penser ni raisonner par les médias, ruinés par les banques et leurs frais somptuaires, jusqu'où les peuples d'Occident persisteront-ils à se croire libres ?

L'Islam est devenu une monstruosité du fait de groupuscules terroristes formés et manipulés par Washington et ses alliés pour préserver leurs intérêts pétroliers.

Encerclée par l'Otan suite à la trahison des promesses tenues après la chute du mur de Berlin par les États-Unis, la Russie est redevenue le Croquemitaine d'avant 1914, prêt à enfourner la Pologne et les Pays Baltes dans sa besace.

La Chine, l'Empire du Milieu, n’est-il pas ce Godzilla redouté par les locataires de Washington, alors que ce mutant tient entre ses griffes une grande partie de la dette américaine.

L'Amérique puritaine et bien-pensante n'a toujours pas compris comment vivre sans ennemis extérieurs, alors que son seul et pire ennemi à combattre n'est qu'elle-même.

Mais, voilà allez donc expliquer cela à des générations que vous avez entretenues dans la peur de l'autre, de l’Indien des plaines aux Petits Hommes Verts.