Ou comment le faux Zorro donne des leçons de démocratie...
George Soros n'a rien d'un Robin des Bois. Certains diraient même qu'il est plus proche d'un Rappetout que d'Arsène Lupin.
L'homme qui fit sauter la Banque d'Angleterre en 1992 et fut accusé plus à raison qu’à tort d’avoir provoqué la crise financière asiatique en 1997 craindrait-il pour ses milliards ?
« Le soutien financier de l'Occident à l'Ukraine est un test décisif de la puissance de la Russie », aurait dit Soros au Wall Street Journal. En ajoutant : « La désintégration de l'Europe contre la Russie renaissante est en jeu. »
Monsieur Soros, les Européens vous saluent bien. Mais ne vous reconnaissent pas comme tel.
Il faut espérer que l’esprit critique des Européens sincères ne se laisse pas manipuler par ceux qui, avec leur argent et leur pouvoir, ne se gênent pas le moins du monde pour jouer avec leurs vies. C’est sûrement la Russie qui bombarde et tue la population ukrainienne de l’Est de l’Ukraine. C’est sans doute la Russie qui combat les forces (putschistes) de Kiev. C’est sans doute une phalange de la démocratie que représente le Bataillon Azov. Ce sont sans doute des partisans de la démocratie et des droits de l’Homme qu’incarnent Svoboda et Secteur Droit.
Les masques tombent : C'est bien la Russie que nos grands manipulateurs veulent empêcher de voir renaître. Mieux vaut pour eux une Russie vassalisée qu'une Russie émergente.
Lorsqu’on aura fini de prendre les gens pour des imbéciles, tous les Soros de la Terre pourront aller jouer à Risk dans les asiles psychiatriques. Et ce jour-là peut-être, les hommes de bonne volonté qui souhaitent bien vivre ensemble se sentiront vraiment libres.
Pour l’intégralité de l’article, je vous invite à suivre le lien :
Wall Street Journal du 22 janvier 2015 par Matt Murray