Appel à une révolution sociale

Eugène_Delacroix_-_Le_28_Juillet

La Liberté guidant le peuple - Eugène Delacroix

Quoique disent les Raffarin, Estrosi et autres ténors de droite ou du centre qui ont laissé les soutiens de Macron dynamiter la candidature de Fillon, quoique demandent ceux de la gauche, je ne me mobiliserai pas comme un mouton derrière le candidat de la finance et des médias, le Micron.

La lâcheté des uns est aussi pitoyable que la trahison des autres.

Je ne voterai pas non plus pour Marine, bien qu’elle ait des idées contrairement à la marionnette qu’elle affrontera au second tour. Mais les idées de Marine ne sont pas les miennes.

Micron est pour moi pire que Marine. Il suffit de le regarder dans les yeux. Cet homme est dangereux. Il sera vraisemblablement élu, si toute la clique politique, droite et gauche réunies, appelle à un front républicain.

Il est triste de voir comment un peuple peut se laisser berner par les manipulations mentales des sondeurs et des médias.

La France est passée au 45ème rang de la liberté de la presse, parce que nos médias ne sont plus libres, détenus par une oligarchie de milliardaires et d’affairistes.

Il est triste de voir qu’un affabulateur, téléguidé par la finance, les lobbies, les médias et les technocrates de Bruxelles va finir de mener à la casse notre beau pays, si nous ne faisons rien.

Il nous faudrait un nouveau 1789 ! Une révolution pour nous débarrasser de ces corrompus qui gangrènent notre pays. En Marche ! n’est qu’une illusion pour gogos comme l’a été le parti nazi allemand.

Attendez-vous à plus de sacrifices, plus de souffrances, plus de privations de vos libertés pour leur sécurité.

Le futur président a entre ses mains votre vie. Et vous venez de la confier à des irresponsables.

Mais que ce futur président sache dès à présent que, si Napoléon III avait son Victor Hugo, il a en moi son premier opposant !

Et je ne lâcherai rien.