Cultivons la Foi en la Nature et l’Humanité…
La prise de conscience est nécessaire
À écouter les grands médias, la canicule et la sècheresse comme corollaire alimentent avec les sempiternels incendies de forêts les préoccupations de chaque été en France et dans le sud de l’Europe, auxquelles on ajoutera les péripéties électriques à la gare Montparnasse ou les habituels chassés croisés des heureux vacanciers.
En terme de politique étrangère, la russophobie continuera à faire recette, suite aux nouvelles sanctions quasi-unanimes du Congrès américain (l’unanimité ne fait pas bon ménage avec la démocratie) avec en écho des images martiales d’un Vladimir Poutine, érigé en Satan pour le Monde se disant libre.
On pleurera sur le drame des Vénézuéliens soumis à la dictature bolivarienne d’un horrible Maduro. On tremblera face aux manœuvres erratiques d’un Kim Jong, nord-coréen, dont les missiles frôlent des vols commerciaux. On continuera à craindre les frasques d’un Donald Trump. Alors que, dans le même temps, la cote d’amour d’Emmanuel Macron est en berne et, que malgré ce désamour (comme s’il y avait eu adhésion), on nous concocte par ordonnances la réforme du code du travail ou plutôt sa casse.
Parallèlement, comme il est de coutume, les associations environnementales nous alertent sur l’épuisement des ressources naturelles de notre Terre de plus en plus tôt dans notre calendrier avec pour champions de cette gabegie, Australiens et Etats-Uniens. Comme, si à notre niveau, nous y pouvions quelque chose, alors que, tels des colibris, nous avons modifié par de petits gestes notre façon de consommer. Ce ne doit pas être le cas, non des populations que l’on stigmatise, mais de tous ces grands groupes industriels qui pratiquent la déforestation à tours de bras, polluent rivières et océans, empuantissent l’air que nous respirons, utilisent des milliers de Kilowatts d’énergie, engloutissent des tonnes de pétrole.
Mieux vaut culpabiliser les petits que taper sur les doigts des plus gros, le tout en nous vendant du plus à consommer, de la technologie à gogo pour les gogos, emballé dans du rêve digital et des illusions matérielles.
Diversions que tout cela !
À force d’idolâtrer l’argent et aujourd’hui les nouvelles technologies, nos têtes pensantes ont mis les outils en avant, en oubliant que, quels que soient les outils et leur performances, l’outil n’est rien sans l’utilisateur averti ou le professionnel qui le connaît et le maîtrise.
Mais, voilà, l’État profond a peur de l’Humanité. C’est la raison pour laquelle cette mouvance apatride endort les consciences, manipule les esprits en utilisant les médias à sa disposition et stigmatise la libre information en la taxant de « Fake news ». La rumeur a cela de coriace qu’elle continue à vous coller telle de la mélasse.
Si nous continuons à dormir, ces fous de l’État profond poursuivront leur travail d’endormissement. Il appartient à l’Humanité de se réveiller, en respectant la Nature dont elle est un des maillons tout en reprenant son destin entre ses mains.
Le système est en pleine déconfiture. Et ses tenants le savent déjà. Ils cherchent à retarder l’échéance de son effondrement par des tentatives de diversions intellectuelles.
Mais déjà, la Nature qui a sa propre conscience prépare sa revanche.