16 novembre 2015
Et le silence ce fit...
Après le fracas des armes
Nous restera-t-il encore des larmes, lorsque le vent les aura séchées ?
Aurons-nous encore suffisamment d’amour pour nos frères à consoler ?
Pourra-t-on jamais pardonner le crime et la haine de ces robots déshumanisés ?
Au nom de quoi ? Au nom d’un Dieu ? A-t-on le droit de tuer ?
Quand la cendre de vos cendres dans l’oubli du néant sera dispersée, vous verrez qu’il n’existe pas de paradis pour la lâcheté.
Et vos noms sombreront dans l’exécration de l’Humanité sans qu’aucun Dieu ni Puissance divine ne vienne les relever.
Personne ne sera là pour vous haïr.
Personne... Puisque vous n'étiez pas dignes d'exister.
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