Loin du Brésil de carte postale...
Entre Mondial et JO... Une triste réalité
Progressiste ou libéral, le sens de ces mots a évolué.
Le partisan du progrès n'est-il pas devenu un destructeur de son environnement, même s'il pense que c'est celui des autres, et ce au nom de la croissance, du confort matériel ou de l'argent ?
Quant au libéral, il est aujourd'hui assimilé au prédateur financier qui s'enrichit sur le dos du travail des hommes.
Pourtant, il fut un temps où le progressiste comme le libéral était un esprit moderne, libéré du carcan des conventions. Le premier croyait au progrès de l'Humanité grâce à l'apport des idées nouvelles, des techniques novatrices et de l'avancée de la science. Le second secouait les idées poussiéreuses d'un temps révolu, prêchait pour la liberté d'opinion, la libéralisation des mœurs et l’égalité entre les hommes.
Le glissement du langage aura eu raison de l’un comme de l’autre.
Au nom du progrès, des hommes s’acharnent à détruire la Terre qui les a portés.
En agitant le libéralisme sauvage, d’autres considèrent leurs semblables comme des quantités négligeables.
Bello Monte est le dernier défi de ces hommes sans scrupules.
Stoppons ce carnage !
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La photo officielle du rendez-vous accordé par la présidente Dilma Rousseff le 10 juillet 2013, après maints reports, à une délégation de représentants indigènes, dont le Cacique Raoni. Celle-ci a été agrémentée par des militants, sur Facebook, d'une légende sans concession :
"Elle a appelé pour prendre une photo, mais ce qu'elle veut, c'est prendre la terre."